2008-03-27

La LNH rencontre Star Wars

Trouvé aujourd'hui... un site qui trouve un parallèle dans Star Wars pour chaque coach de la LNH.

Traduction:

  • Anaheim (Randy Carlyle): Wedge Antilles. Il fait tout le travail difficile et c'est un autre (Brian Burke, le DG) qui prend toute la gloire
  • Atlanta (Don Waddell): Jar-Jar Binks. Un looser à tout les niveaux, tout le monde veut qu'il disparaisse
  • Boston (Claude Julien): R2-D2. Peu importe ce qu'il fait, il n'a jamais le respect qu'il mérite. Et comme R2-D2, il a le dessus de la tête qui brille.
  • Buffalo (Lindy Ruff): Han Solo. Il a la chance de son côté, et il souvent l'air sans défenses. Ne lui dites jamais les probabilités.
  • Calgary (Mike Keenan): Darth Vader. Inspire la peur, mais ça donne des résultats. On le soupçonne d'être un tendre à l'intérieur.
  • Caroline (Peter Laviolette): Luke Skywalker, époque Jedi. A tout gagné dans le passé, mais a perdu de son efficacité dans le futur.
  • Chicago (Denis Savard): Wicket le Ewok. Petit et combattif, toujours prêt à se battre, mais pas un héros.
  • Colorado (Joel Quenneville): Ki-Adi-Mundi. Connait la victoire et est respecté, mais passe un peu sous le radar. Porte la moustache.
  • Columbus (Ken Hitchcock): Nien Numb. Est toujours à la bonne place (avec Lando dans la destruction de la Death Star) quand le grand moment arrive. Mais n'a pas fait grand chose depuis.
  • Dallas (Dave Tippett): General Grievous. L'opposé d'un bon motivateur. A une dernière chance de faire la job.
  • Détroit (Mike Babcock): Obi-Wan Kenobi, époque jeune. A du grand potentiel, mais n'a rien prouvé à date.
  • Edmonton (Craig McTavish): Lando Calrissian. A beaucoup de charme, a eu du succès dans le passé, mais a un sale caractère.
  • Floride (Jacques Martin): Vaporisateur de moisissure. Sans émotion, sans créativité, on le trouve dans les climats chauds.
  • Los Angeles (Marc Crawford): Obi-Wan Kenobi, époque vieux. S'est prouvé aux plus hauts niveaux, mais est maintenant au purgatoire pour une quelconque raison.
  • Minnesota (Jacques Lemaire): Amiral Ackbar. A des cicatrices de combats et de nombreuses conquêtes, mais son caractère grognon fait peur. Et comme Ackbar le dit si bien de le Retour du Jedi: It's a trap!
  • Montréal (Guy Carbonneau): Jango Fett. Un ancien grand guerrier qui tente de restaurer la vieille gloire d'antan.
  • Nashville (Barry Trotz): Han Solo dans la carbonite. Un meuble qui n'a pas fait grand chose de plus qu'un porte-manteau.
  • New Jersey (Brian Sutter): Luke Skywalker, jeune. Vient d'une excellente famille, mais doit se prouver.
  • New York Islanders (Ted Nolan): Qui-Gonn Jinn. Talentueux et motivateur, mais peu compris par les autorités supérieures.
  • New York Rangers (Tom Renney): Nute Gunray, le roi de la Trade Federation. Un modèle d'échec constant qui a tout les outils pour réussir mais qui foire totalement.
  • Ottawa (Brian Murray): Empereur Palpatine. Si tu veux que ça marche, fais-le toi-même. Déteste les jeunes vedettes
  • Philadelphie (John Stevens): Jeune Anakin Skywalker. L'inconnu total, recrue qui n'a pas été testée.
  • Phoenix (Wayne Gretzky): Boba Fett. Il n'a pas fait tant de choses que ça (comme coach, on s'entend), mais est toute une légende.
  • Pittsburgh (Michel Therrien): Watto. Frustré, irritable, il n'a rien foutu de bon et est déplaisant à regarder.
  • San Jose (Ron Wilson): Soldat clône. Il ne sait pas trop ce qu'il fait, mais comme il ressemble à un coach, tout le monde s'en fout.
  • St-Louis (Andy Murray): C3-P0. On lui donne les tâches les plus difficiles même s'il rate souvent son coup.
  • Tampa Bay (John Tortorella): Anakin Skywalker, vieux. A prouvé sa puissance dans le passé, mais maintenant sa colère prend le dessus sur lui-même.
  • Toronto (Paul Maurice): Bib Fortuna. Un être faible d'esprit qui est un yes-man face à son boss. Aucune source d'inspiration, et à la merci de son boss.
  • Vancouver (Alain Vigneault): Greedo. Est confiant, a une longue liste d'excuses et n'a jamais rien foutu de bon.
  • Washington (Bruce Boudreau): Chewbacca. Amical, rapide à donner les compliments mais avec un mauvais caractère. Est avec la plus grosse star (Ovechkin pour Boudreau, Solo pour Chewie) .
  • Mention honorable (Scotty Bowman): Yoda. Sait de quoi il parle, est révéré partout par tout le monde.

2008-03-18

Parce que je n'ai rien de mieux à faire...

Je relève le défi de Yan et je mets mon desktop du bureau question que vous voyiez ce qu'il y a dessus.

À votre tour!



2008-03-11

Parlons de Réjean Tremblay

Pour une (rare) fois, un article écrit où il n'est pas auto-indulgent, où il ne tente pas d'attaque cheap-shot envers Bob Gainey, bref, je le reconnais, un bon article sur Peter Stastny.

En gros, ça parle de Stastny qui part en croisade contre les dirigeants du hockey slovaque qu'il accuse de corruption, etc, etc.

Alors cet article m'inspire une autre grande prédiction.

En 2010, ce sera les Jeux Olympiques de Vancouver. Avec évidemment beaucoup de focus sur le hockey international.

Je prédis donc que cette année là, la série Lance et Compte (version 47) va sortir Sergei Koulikov (ou un autre russe de la belle époque) des boules à mites. Celui-ci sera en guerre contre les dirigeants du programme de hockey de son pays et la chicane va pogner dans le tournoi olympique.

On s'en reparle en 2010.

2008-03-10

J'avais oublié de mettre celle-là en ligne

Ça date de la date limite des échanges, sur le site de RDS.

Ça indique un échange de Marian Hossa... aux Rockies du Colorado? Il n'a pas juste changé d'équipe, il a changé de sport aussi?


Surréaliste

La tempête de neige du week-end a vraiment laissé des traces spectaculaires à Montréal. Je n'ai jamais vu de tels bancs de neige en ville... Hier pour sortir pelleter les quelques marches à l'avant du bloc, y'a fallu que je m'accroche bien comme il faut juste pour pousser la porte vers l'extérieur vu la quantité de neige accumulée. Ça allait facilement au-dessus des genoux...

Ensuite, quand j'ai voulu dégager mon auto, j'ai eu du fun aussi... juste pour me rendre, quasiment 5 minutes de pelle (avec de la neige à la hauteur de la taille par endroits). Ensuite, l'auto passablement ensevelie, d'un côté de la neige à mi-hauteur des vitres, et à l'avant je devais surveiller où je marchais pour ne pas mettre le pied sur le bumper. Une heure plus tard (ça a quand même été assez vite) l'auto était dégagée (mais la ruelle était quand même complètement impraticable, je crois que les premières autos ont réussi à sortir seulement cet après-midi).

Et tantôt, en revenant du bureau, c'était tout aussi amusant. Dans le parc que je dois traverser pour me rendre au métro, je marchais par moments à la hauteur des clôtures Frost en métal. Ensuite autre scène cocasse, probablement de deux voisins qui ne s'aiment pas trop... deux portes une à côté de l'autre séparées d'à peu près 10cm qui partagent le même escalier de 2-3 marches... eh bien chaque côté de l'escalier était déneigé, à l'exception d'une petite bande de 10cm au milieu... Et finalement, sur un trottoir près de l'appart, le banc de neige tappé bien dur par le passage des piétons montait si haut qu'on était plus élevés que le toit des véhicules... les chenillettes de la ville vont avoir du fun avec ça!

Pense que demain je vais partir avec ma caméra!

2008-03-04

Est-ce que Google est Dieu?

Les preuves sont troublantes (et très amusantes).