C'est quoi le foutu concept de l'annonce de la Chevrolet Aveo 5? La série avec l'espèce de plouc déguisé en baril de fruits, en berger et autres trucs tous aussi minables que ratés? Je ne la catche pas, vraiment pas.
Peut-on aussi pendre la folle dans le salon dans l'annonce de All-Bran assis sur le fauteuil blanc avec le ti-minou qui met du vin rouge partout?
Et tant qu'à faire, lapider l'autre mongole à batteries dans l'annonce de Home Depot, oui oui, celle qui voit son sale cabot dans le salon avec un jambon par terre et qui trouve juste le moyen de dire avec sa voix de greluche "c'est beau".
C'est ben rendu dur faire de bonnes annonces maudit!
SVP, inspirez-vous de celle-ci de Discovery Channel. Ça, c'est excellent.
2008-10-26
2008-10-25
Prédiction d'avant-match
Le match CH - Ducks commence dans quelques minutes.
Ma prédiction: Après la partie, sur RDS, on aura droit à une manchette
-Le CH déplume les Ducks
ou
-Les Ducks s'envolent avec la victoire
Ma prédiction: Après la partie, sur RDS, on aura droit à une manchette
-Le CH déplume les Ducks
ou
-Les Ducks s'envolent avec la victoire
2008-10-22
Tour de France 2009 - Mon analyse
Fin octobre, c'est la fin de saison de vélo, mais c'est aussi le temps de l'année où on annonce le trajet du Tour de France... alors voici mes premières impressions pour 2009.
Départ de Monaco avec des passages sur le circuit de F1. Avec 15km, c'est soit un CLM très court ou un prologue très long. La course va mettre le cap à l'ouest sur le bord de la Méditerrannée pendant quelques jours avec des arrivées pour sprinteurs, interrompues par le retour tant attendu du CLM par équipes, une épreuve crainte par bien des coureurs. Et cette année en plus, les écarts ne seront pas plafonnés pour les coureurs forts dans des équipes faibles. Par contre à 38km ils pourront quand même limiter la casse. Le Tour reprend ensuite la route du sud et fait même une sérieuse incursion espagnole jusqu'à Barcelone.
De là, on passe aux choses sérieuses. Longue étape de remontée vers le nord qui finit avec une ascension assez dure vers Andorre, 10.6km à 7.1% (c'est le fun maintenant après avoir été dans les Pyrénées cet été je peux mieux me représenter ce que ça signifie). Le lendemain, autre étape des Pyrénées mais honnêtement pas si dure... grosse montée en partant qui sera tranquille, et deux plus "petits" cols en Ariège (pas fait ceux là... le Col d'Agnès me semble bien en tout cas). Vient ensuite la dernière grande étape des Pyrénées (et c'est une belle): de St-Gaudens à Tarbes (bleah!) en passant par l'Aspin et le Tourmalet (note à Alex: ils vont monter Aspin dans le sens contraire de nous, passer devant l'hôtel à Ste-Marie-de-Campan à toute vitesse -on va sûrement le voir à la télé- et tourner à gauche à l'église pour monter le Tourmalet dans le même sens que nous. Maudit que c'est le fun connaître la route).
Petit transfert en avion et journée de repos à Limoges. Ensuite retour de quelques étapes de plaines pour traverser la France vers l'Alsace avec entre autres une arrivée à Issoudun, ville célèbre pour avoir son homonyme sur la 20 quelque part après Val-Alain mais avant Québec. Une étape de moyenne montagne dans le coin de Colmar, encore un peu de plaine et les Alpes arrivent. Ça commence par une arrivée pas trop dure en Suisse, à Verbier. Une autre journée de repos, et là ça deviendra vraiment sauvage. L'étape du 21 juillet commence par le Col du Grand St-Bernard, 24.4 km de montée à 6.2%. Il n'a pas été monté depuis 43 ans au Tour de France. Au sommet, c'est l'Italie. Descente, et on remonte ensuite le Col du Petit St-Bernard (décidément!) 22.6 km de montée à 5.1%. Celle là va faire mal... mais le pire, c'est que le lendemain est encore plus difficile. Cinq cols dont le Cornet de Roselend et le Col de la Colombière, ayoye. Et comme tout le monde sera vraiment démoli, CLM individuel à Annecy le lendemain, 40km.
Une étape de plaine pour donner un semblant de break, et le lendemain, veille de l'arrivée sur les Champs-Élysées... le cadeau final. Une petite balade de 167km de Montélimar jusque... oui, enfin, il est de retour... le Mont Ventoux. Drette en haut. Je n'ai jamais vu une finale en haute montagne aussi près de l'arrivée à Paris. Et surtout avec une montagne mythique comme le Ventoux...
Ce que je retiens:
Le gagnant? Je peux déjà le dire: Contador. Grosses montées, peu de CLM. C'est fait pour lui. Sauf si Armstrong fait le Tour et que la m... pogne dans l'équipe. Si c'est le cas, peut-être qu'Andy Schleck pourra se faufiler.
Départ de Monaco avec des passages sur le circuit de F1. Avec 15km, c'est soit un CLM très court ou un prologue très long. La course va mettre le cap à l'ouest sur le bord de la Méditerrannée pendant quelques jours avec des arrivées pour sprinteurs, interrompues par le retour tant attendu du CLM par équipes, une épreuve crainte par bien des coureurs. Et cette année en plus, les écarts ne seront pas plafonnés pour les coureurs forts dans des équipes faibles. Par contre à 38km ils pourront quand même limiter la casse. Le Tour reprend ensuite la route du sud et fait même une sérieuse incursion espagnole jusqu'à Barcelone.
De là, on passe aux choses sérieuses. Longue étape de remontée vers le nord qui finit avec une ascension assez dure vers Andorre, 10.6km à 7.1% (c'est le fun maintenant après avoir été dans les Pyrénées cet été je peux mieux me représenter ce que ça signifie). Le lendemain, autre étape des Pyrénées mais honnêtement pas si dure... grosse montée en partant qui sera tranquille, et deux plus "petits" cols en Ariège (pas fait ceux là... le Col d'Agnès me semble bien en tout cas). Vient ensuite la dernière grande étape des Pyrénées (et c'est une belle): de St-Gaudens à Tarbes (bleah!) en passant par l'Aspin et le Tourmalet (note à Alex: ils vont monter Aspin dans le sens contraire de nous, passer devant l'hôtel à Ste-Marie-de-Campan à toute vitesse -on va sûrement le voir à la télé- et tourner à gauche à l'église pour monter le Tourmalet dans le même sens que nous. Maudit que c'est le fun connaître la route).
Petit transfert en avion et journée de repos à Limoges. Ensuite retour de quelques étapes de plaines pour traverser la France vers l'Alsace avec entre autres une arrivée à Issoudun, ville célèbre pour avoir son homonyme sur la 20 quelque part après Val-Alain mais avant Québec. Une étape de moyenne montagne dans le coin de Colmar, encore un peu de plaine et les Alpes arrivent. Ça commence par une arrivée pas trop dure en Suisse, à Verbier. Une autre journée de repos, et là ça deviendra vraiment sauvage. L'étape du 21 juillet commence par le Col du Grand St-Bernard, 24.4 km de montée à 6.2%. Il n'a pas été monté depuis 43 ans au Tour de France. Au sommet, c'est l'Italie. Descente, et on remonte ensuite le Col du Petit St-Bernard (décidément!) 22.6 km de montée à 5.1%. Celle là va faire mal... mais le pire, c'est que le lendemain est encore plus difficile. Cinq cols dont le Cornet de Roselend et le Col de la Colombière, ayoye. Et comme tout le monde sera vraiment démoli, CLM individuel à Annecy le lendemain, 40km.
Une étape de plaine pour donner un semblant de break, et le lendemain, veille de l'arrivée sur les Champs-Élysées... le cadeau final. Une petite balade de 167km de Montélimar jusque... oui, enfin, il est de retour... le Mont Ventoux. Drette en haut. Je n'ai jamais vu une finale en haute montagne aussi près de l'arrivée à Paris. Et surtout avec une montagne mythique comme le Ventoux...
Ce que je retiens:
- Un trajet un peu inusité
- Une montagne majeure la veille de l'arrivée. Une défaillance et le Tour peut s'y jouer... même avec quelques minutes d'avance, ça peut se perdre sur le Ventoux.
- Avoir le maillot jaune à la sortie des Pyrénées ne sera peut-être pas une si bonne chose... la deuxième semaine sera looooongue à défendre pour les équipiers.
- La deuxième journée de repos avant les premières difficultés alpines.
- Très peu de CLM.
- Très peu de moyenne montagne, dommage. Ce sont souvent des étapes très intéressantes qui sourient aux aventuriers. Mais c'est compensé par deux étapes de plus en haute montagne.
Le gagnant? Je peux déjà le dire: Contador. Grosses montées, peu de CLM. C'est fait pour lui. Sauf si Armstrong fait le Tour et que la m... pogne dans l'équipe. Si c'est le cas, peut-être qu'Andy Schleck pourra se faufiler.
2008-10-20
2008-10-19
Récit de voyage: Jours 16-22
Je viens de réaliser que je n'ai toujours pas fini le récit de voyage... aussi bien en finir
Jour 16: Bleah, de la pluie. La première vraie journée pluvieuse du voyage. On décide d'étirer un peu notre matin à l'hôtel, mais à notre départ, il y a toujours de la bruine. Visite piétonne de Toulouse et ça confirme les impressions favorables de la veille. Vraiment une ville agréable, et je confirme: y habiter doit être plaisant. Arrêt dans un petit café internet pour vérifier l'horaire du vol d'Alex demain. De mon bord, j'ai toujours des plans plus ou moins fixes pour la suite du voyage... je regarde des cartes, je regarde cyclingnews... coudonc, l'étape du Tour d'Espagne serait quasiment à portée... c'est une bonne route, je ne sais pas trop comment ça s'organise du côté espagnol non plus... mais ça peut se faire. J'ai peur au traffic par contre, est-ce tout est fermé par là? Après une accalmie, la pluie recommence un peu plus fort. On rentre vers l'hôtel car on veut être au sec, mais ça ne nous empêche pas de voir un bateau passer une écluse... c'est rapide quand même. On pogne le GP de Belgique (qualifs) à la télé, commentateurs encore là très chauvins, mais c'est vrai que Bourdais s'en tire plutôt bien. On redescend en ville souper, alors qu'au début on cherchait proche, finalement on passe d'un resto à l'autre et on arrive au centre-ville où je peux finalement me trouver un cassoulet! Retour à l'hôtel et dodo pas trop tardif, faut se lever tôt demain.
Jour 17: Lever à 5h45... Alex a un vol à prendre. C'est quand même tôt, je me croirais de retour au boulot. Par contre à cette heure, aucun traffic et on est rapidement à Blagnac. L'enregistrement d'Alex va bien, je passe un peu de temps avec lui mais un moment donné, c'est dull un peu l'aéroport et je quitte. Bâtard j'aurais dû partir 5 minutes plus tôt, juste pour dire que j'ai changé de plage horaire et dans le stationnement courte durée, ça fait mal. Pour la première fois en Europe je dois apprendre à naviguer seul en auto... c'est à dire conduire sans avoir de copilote pour m'orienter sur les routes. Ça va quand même bien et j'ai juste à arrêter un peu plus souvent dans les villages regarder les endroits suivants. Je traverse donc une série de routes panoramiques de la Haute-Garonne. Je vois les montagnes au loin, gros Soleil... ça donne le goût d'y retourner. Surtout qu'il y a une course de vélo... Après avoir croisé un troupeau de moutons, je me décide, j'y vais. Chance of a lifetime comme on dit en anglais. Je passe par St-Gaudens et je me rends compte d'un problème... l'auto est basse en essence, et les postes d'essence sont rares en montagne... et on est dimanche, tout est fermé... et ma fichue carte de crédit pas à puce ne passe pas dans les postes automatiques... je finis par en trouver un à Aspet, un peu cher mais je n'ai pas le choix. Le Col de Buret et le Col des Ares me conduisent vers la route qui me fera passer la frontière, et en chemin je croise plein de vélos... hmm tiens il y a une grosse randonnée cyclosportive, c'est le fun. Enfin, pas si le fun que ça... j'arrive à St-Béat, là-même où on a passé il y a quelques jours. Sauf que le joli pont est aussi un entonnoir assez glorieux et le traffic jamme. Solide. Près de 30 minutes pour avancer de 100m. Merde, est-ce que c'est comme ça jusqu'à la frontière? Finalement non... c'est juste qu'il y a un point de contrôle de la cyclosportive dans le village, et que ça force le traffic à avancer très lentement. Je finis par passer le bouchon et à arriver en Espagne. Je trouve la route pour me rendre au village au pied de la dernière côte, mais rien à faire, je ne trouve pas l'indication du sommet. Je roule même dans des rues assez suspectes où ça descend tellement que c'est ridicule. Bref je sors la mappe... et je me rends compte que je suis un village trop tôt. Bordel. Je fais donc le 2-3km qui manque et tiens donc en route je croise l'autobus de Lampre, le camion d'Astana, Française des Jeux, Cofidis, Rabobank, CSC et une couple d'autres. Je stationne l'auto au pied du Col pour ne pas rester pris quand la route sera fermée. Petit somme dans l'auto d'une heure et finalement je sors avec mon ami monsieur iPod. Je me trouve un bon spot dans la montée (pas trop haut car je sais que je dois rentrer en France ensuite), je jase avec un français sympathique fan de Bouygues mais c'est long, les gars se font attendre (mais on voit trois chevreuils) Finalement l'hélico de la télé arrive, signe que les gars s'en viennent... on regarde dans la vallée, et les voilà. 2-3 gars en échappée, et l'avance semble bonne. Vont-ils tenir? Après quelques minutes ils arrivent, le premier est un Cofidis, on dirait Moncoutié... c'est bien lui. C'est un bon grimpeur, il a des chances de tenir jusqu'en haut. Et là, coup de chance. La voiture d'équipe Quickstep se stationne à côté de moi pour donner des bidons à ses gars. Je peux prendre plein de photos des vélos sur le toit, incroyable la différence de taille entre celui de Boonen et celui de Bettini. On voit ensuite passer les favoris y compris Contador, puis ensuite Bettini et Rebellin qui montent en placotant, maudit que ça a l'air facile. Le grupetto finit par passer, c'est tout... juste comme monsieur Quicksetp s'en va, je réussis à lui têter un bidon! Quel souvenir! Je redescend le col à la course car je veux éviter le traffic quand la route du col sera réouverte... Mission accomplie, je repars sans problèmes. Par contre arrivé en France, il est rendu passé 18h30 et la recherche d'hôtel est nettement plus difficile. Je finis par en trouver un à Bagnères de Luchon pas cher et très bien, et pour rester dans le thème vélo, l'équipe Bouygues y a logé en juin. Souper au resto (je suis crevé et affamé) en regardant le match de rugby du Stade Toulousain vraiment l'équipe favorite de la place. Les réactions sont identiques à celles dans les restos quand le CH joue, il y a des choses universelles...
Jour 18: Après une bonne nuit de sommeil, je dois quand même me lever un peu tôt car le parking est permis jusqu'à 8h00. Je veux rester encore un peu en montagne, mais ça ne me tente pas de repasser par Peyresourde alors je fais un détour au nord vers St-Bertrand de Comminges. Ça valait le coup. Petite ville fortifiée un peu comme Cordes sur Ciel, mais tôt le matin et hors-saison comme ça, j'ai littéralement la ville à moi tout seul. Magnifique. La route de la Vallée d'Aure est très panoramique, il y a de quoi faire d'autres belles photos. Petite épicerie à Arreau et finalement, je me rends compte que ça ne me tente plus tant que ça de monter au Massif de Néouvielle. Je décide donc de quitter la montagne avant qu'elle ne perde sa magie sur moi. Le Col d'Aspin est à côté et me conduit dans la direction où je veux aller, c'est donc par là que je remonte (en entendant parler de Fèbrèze à la radio). Faut dire que la vue est si belle en haut... Je passe un grosse heure au sommet à regarder la paysage en mangeant, et je redescend en faisant un petit salut de la main à Ste-Marie-de-Campan en passant. Au revoir la montagne! Traversée de Tarbes particulièrement pénible, ville moche et un peu hostile où c'est dur de se retrouver. J'aime pas. Au travers de routes isolées en campagne, l'après-midi passe. La radio française est devenue mon amie, et elle est plus culturelle que la nôtre, même dans les chaînes plutôt commerciales il y a des émissions littéraires. Trouver un hôtel est un calvaire. Peu de villes en ont, et ce qui existe en souvent fermé. Décidément quand on approche des Landes ça devient vraiment dur, à se souvenir. Je trouve finalement de quoi ben fatigué à Mont-de-Marsan car je me suis tanné et j'ai décidé d'aller vers une grosse ville, mais c'est un peu cher et pas terrible. Au moins c'est près de la rue Gambetta et il y a une affiche de Zavatta! Et dans le fond, au début du voyage j'avais trouvé ça un peu dommage de ne pas voir, alors là, j'ai le temps. La ville est bien, et le resto que je trouve est vraiment bon.
Jour 19: C'est gris ce matin, et j'ai encore mal dormi à mon fichu hôtel sur le bord du rond-point. Par contre pour quitter c'est parfait, je suis direct à la fourche que je devais prendre. Routes plutôt jolies vers Cazaubon et Montréal (un autre) où je tombe sur un site romain qui clanche celui de Vaison. Mosaïques superbes et gigantesques, thermes, belle surprise. Traversée sans histoires du Gers, la radio me tient compagnie et je rigole en écoutant les français parler en anglais et parler de thai-seur (tazer). Et je me dis qu'en remplaçant Domenech par Bob Gainey à la radio on a des discussions semblables. Arrivée en zone de vignobles à Castillon (manque un r dans ce nom me semble) une ville plus tranquille. Je dois téléphoner pour prendre rendez-vous pour rendre l'auto. Ça me prend une carte d'appel pour ça, 7.50 euros simonac! Tout ça pour 2 minutes. Elle pourra me servir un autre jour j'imagine. La ville est un peu sinistre le soir, et il y a encore moins de restos qu'au Mont-Dore. J'arrête chez le chinois, mais c'est meilleur qu'au chinois chez nous. Ça me semble plus traditionnel en tout cas. Et c'est drôle de voir des chinois avec l'accent français.
Jour 20: Très brumeux ce matin à Castillon (où il manque toujours un r), ce qui ne rend pas la ville plus sympathique. Route au travers du vignoble de Bordeaux, que de raisins! Beau et paisible, une autre place qui pourrait être intéressante à vélo. Comme s'il en manquait... Arrivée à St-Émilion qui est à mon goût un piège à touristes. C'est joli, mais c'est un piège à touristes. Après plusieurs jours dans des endroits tranquilles, ça frappe. Et finalement je me rends à Bordeaux en faisant une dernière épicerie (ça me prend du confit à rapporter). Je trouve un hôtel avec 0 charme près de l'aéroport, mais c'est pas cher et ça sera pratique au moins après-demain. Descente en tramway vers le centre-ville, comme à Montréal la rue principale est la rue Ste-Catherine. Je croise même des universitaires en initiation, sac de poubelles, farine et maquillage. J'aurais dû prendre des photos. Je rentre à l'hôtel demain je visiterai plus en profondeur demain. À la télé je pogne les Têtes à Claques sous-titrées, mourant. Lance Armstrong est de retour, ça en parle à la télé. Je soupe au resto pas très loin de l'hôtel et j'écoute le match de la France à la télé, ouf ils ont gagné!
Jour 21: Encore le tramway et début d'une ballade dans Bordeaux. Cette ville me fait vraiment penser à Montréal ou à ce qu'elle pourrait être. Rue Ste-Catherine, un stade un peu en dehors du centre-ville, un bord de rivière / fleuve aménagé de la même façon. Montréal a de plus beaux parcs, Bordeaux a de plus beaux édifices. Mais il y a un lien... Découverte de plusieurs endroits y compris le musée Jean Moulin sur la résistance, très intéressant au premier étage mais ensuite ça en perd un peu, manque d'interprétation et trop d'étalages de médailles variées. Petit passage sur internet, je pars toujours demain. Un peu triste de quitter, mais en même temps j'ai un peu le mal du pays. J'ai quand même bien apprécié Bordeaux et ses magasins aux noms amusants. J'ai préféré Toulouse, mais je pense qu'il y a un peu plus à voir à Bordeaux. Malgré les prévisions négatives, il a plu seulement 1/2h aujourd'hui. J'suis chanceux!
Jour 22: Très très mal dormi, plein de rêves bizarres. Retour de l'auto, je jase avec le gars de la location qui n'a que ça à faire en attendant ses prochains clients. Il est sympathique, ça permet de tuer le temps. Ce n'est pas le même avion qu'à l'aller, il me semble même plus spacieux mais le petit baquet est quand même dans le plan d'urgence. Envolée d'abord tranquille et je me sers de mon mini atlas Michelin pour identifier les îles de la côte de la Bretagne en bas. Mais un peu après avoir quitté les côtes françaises pour de bon, ça se met à brasser. D'abord un peu, mais tout d'un coup pas mal plus, au point où le pilote demande d'arrêter le service et demande même au staff de prendre leur siège. Ça continue à secouer, et la dernière est quelque chose... l'avion plonge sur un côté (je ne veux pas savoir de combien) et pas mal de gens à bord crient sur celle là. Mais c'est pas mal la dernière, ça se calme ensuite et tout revient à la normale. Encore du Choix du Président, chinois cette fois, à peine meilleur que l'hindou. Le reste du voyage va bien même si c'est long (au moins j'aurai écouté Iron Man). Je jase avec un agent de bord en faisant la file pour les toilettes, il me dit qu'en plus de 700 vols c'était sa troisième secousse du genre. La descente finit par s'amorcer, c'est nuageux et on ne voit rien au sol. On finit par toucher le sol, les vacances sont finies! Le contrôle douanier et la reprise des valises se fait vraiment rapidement, ça au moins c'est quelque chose qui va bien... heureusement, car je suis crevé. Mais ça ne m'empêchera pas de repartir en voyage quand j'en aurai la chance!
Jour 16: Bleah, de la pluie. La première vraie journée pluvieuse du voyage. On décide d'étirer un peu notre matin à l'hôtel, mais à notre départ, il y a toujours de la bruine. Visite piétonne de Toulouse et ça confirme les impressions favorables de la veille. Vraiment une ville agréable, et je confirme: y habiter doit être plaisant. Arrêt dans un petit café internet pour vérifier l'horaire du vol d'Alex demain. De mon bord, j'ai toujours des plans plus ou moins fixes pour la suite du voyage... je regarde des cartes, je regarde cyclingnews... coudonc, l'étape du Tour d'Espagne serait quasiment à portée... c'est une bonne route, je ne sais pas trop comment ça s'organise du côté espagnol non plus... mais ça peut se faire. J'ai peur au traffic par contre, est-ce tout est fermé par là? Après une accalmie, la pluie recommence un peu plus fort. On rentre vers l'hôtel car on veut être au sec, mais ça ne nous empêche pas de voir un bateau passer une écluse... c'est rapide quand même. On pogne le GP de Belgique (qualifs) à la télé, commentateurs encore là très chauvins, mais c'est vrai que Bourdais s'en tire plutôt bien. On redescend en ville souper, alors qu'au début on cherchait proche, finalement on passe d'un resto à l'autre et on arrive au centre-ville où je peux finalement me trouver un cassoulet! Retour à l'hôtel et dodo pas trop tardif, faut se lever tôt demain.
Jour 17: Lever à 5h45... Alex a un vol à prendre. C'est quand même tôt, je me croirais de retour au boulot. Par contre à cette heure, aucun traffic et on est rapidement à Blagnac. L'enregistrement d'Alex va bien, je passe un peu de temps avec lui mais un moment donné, c'est dull un peu l'aéroport et je quitte. Bâtard j'aurais dû partir 5 minutes plus tôt, juste pour dire que j'ai changé de plage horaire et dans le stationnement courte durée, ça fait mal. Pour la première fois en Europe je dois apprendre à naviguer seul en auto... c'est à dire conduire sans avoir de copilote pour m'orienter sur les routes. Ça va quand même bien et j'ai juste à arrêter un peu plus souvent dans les villages regarder les endroits suivants. Je traverse donc une série de routes panoramiques de la Haute-Garonne. Je vois les montagnes au loin, gros Soleil... ça donne le goût d'y retourner. Surtout qu'il y a une course de vélo... Après avoir croisé un troupeau de moutons, je me décide, j'y vais. Chance of a lifetime comme on dit en anglais. Je passe par St-Gaudens et je me rends compte d'un problème... l'auto est basse en essence, et les postes d'essence sont rares en montagne... et on est dimanche, tout est fermé... et ma fichue carte de crédit pas à puce ne passe pas dans les postes automatiques... je finis par en trouver un à Aspet, un peu cher mais je n'ai pas le choix. Le Col de Buret et le Col des Ares me conduisent vers la route qui me fera passer la frontière, et en chemin je croise plein de vélos... hmm tiens il y a une grosse randonnée cyclosportive, c'est le fun. Enfin, pas si le fun que ça... j'arrive à St-Béat, là-même où on a passé il y a quelques jours. Sauf que le joli pont est aussi un entonnoir assez glorieux et le traffic jamme. Solide. Près de 30 minutes pour avancer de 100m. Merde, est-ce que c'est comme ça jusqu'à la frontière? Finalement non... c'est juste qu'il y a un point de contrôle de la cyclosportive dans le village, et que ça force le traffic à avancer très lentement. Je finis par passer le bouchon et à arriver en Espagne. Je trouve la route pour me rendre au village au pied de la dernière côte, mais rien à faire, je ne trouve pas l'indication du sommet. Je roule même dans des rues assez suspectes où ça descend tellement que c'est ridicule. Bref je sors la mappe... et je me rends compte que je suis un village trop tôt. Bordel. Je fais donc le 2-3km qui manque et tiens donc en route je croise l'autobus de Lampre, le camion d'Astana, Française des Jeux, Cofidis, Rabobank, CSC et une couple d'autres. Je stationne l'auto au pied du Col pour ne pas rester pris quand la route sera fermée. Petit somme dans l'auto d'une heure et finalement je sors avec mon ami monsieur iPod. Je me trouve un bon spot dans la montée (pas trop haut car je sais que je dois rentrer en France ensuite), je jase avec un français sympathique fan de Bouygues mais c'est long, les gars se font attendre (mais on voit trois chevreuils) Finalement l'hélico de la télé arrive, signe que les gars s'en viennent... on regarde dans la vallée, et les voilà. 2-3 gars en échappée, et l'avance semble bonne. Vont-ils tenir? Après quelques minutes ils arrivent, le premier est un Cofidis, on dirait Moncoutié... c'est bien lui. C'est un bon grimpeur, il a des chances de tenir jusqu'en haut. Et là, coup de chance. La voiture d'équipe Quickstep se stationne à côté de moi pour donner des bidons à ses gars. Je peux prendre plein de photos des vélos sur le toit, incroyable la différence de taille entre celui de Boonen et celui de Bettini. On voit ensuite passer les favoris y compris Contador, puis ensuite Bettini et Rebellin qui montent en placotant, maudit que ça a l'air facile. Le grupetto finit par passer, c'est tout... juste comme monsieur Quicksetp s'en va, je réussis à lui têter un bidon! Quel souvenir! Je redescend le col à la course car je veux éviter le traffic quand la route du col sera réouverte... Mission accomplie, je repars sans problèmes. Par contre arrivé en France, il est rendu passé 18h30 et la recherche d'hôtel est nettement plus difficile. Je finis par en trouver un à Bagnères de Luchon pas cher et très bien, et pour rester dans le thème vélo, l'équipe Bouygues y a logé en juin. Souper au resto (je suis crevé et affamé) en regardant le match de rugby du Stade Toulousain vraiment l'équipe favorite de la place. Les réactions sont identiques à celles dans les restos quand le CH joue, il y a des choses universelles...
Jour 18: Après une bonne nuit de sommeil, je dois quand même me lever un peu tôt car le parking est permis jusqu'à 8h00. Je veux rester encore un peu en montagne, mais ça ne me tente pas de repasser par Peyresourde alors je fais un détour au nord vers St-Bertrand de Comminges. Ça valait le coup. Petite ville fortifiée un peu comme Cordes sur Ciel, mais tôt le matin et hors-saison comme ça, j'ai littéralement la ville à moi tout seul. Magnifique. La route de la Vallée d'Aure est très panoramique, il y a de quoi faire d'autres belles photos. Petite épicerie à Arreau et finalement, je me rends compte que ça ne me tente plus tant que ça de monter au Massif de Néouvielle. Je décide donc de quitter la montagne avant qu'elle ne perde sa magie sur moi. Le Col d'Aspin est à côté et me conduit dans la direction où je veux aller, c'est donc par là que je remonte (en entendant parler de Fèbrèze à la radio). Faut dire que la vue est si belle en haut... Je passe un grosse heure au sommet à regarder la paysage en mangeant, et je redescend en faisant un petit salut de la main à Ste-Marie-de-Campan en passant. Au revoir la montagne! Traversée de Tarbes particulièrement pénible, ville moche et un peu hostile où c'est dur de se retrouver. J'aime pas. Au travers de routes isolées en campagne, l'après-midi passe. La radio française est devenue mon amie, et elle est plus culturelle que la nôtre, même dans les chaînes plutôt commerciales il y a des émissions littéraires. Trouver un hôtel est un calvaire. Peu de villes en ont, et ce qui existe en souvent fermé. Décidément quand on approche des Landes ça devient vraiment dur, à se souvenir. Je trouve finalement de quoi ben fatigué à Mont-de-Marsan car je me suis tanné et j'ai décidé d'aller vers une grosse ville, mais c'est un peu cher et pas terrible. Au moins c'est près de la rue Gambetta et il y a une affiche de Zavatta! Et dans le fond, au début du voyage j'avais trouvé ça un peu dommage de ne pas voir, alors là, j'ai le temps. La ville est bien, et le resto que je trouve est vraiment bon.
Jour 19: C'est gris ce matin, et j'ai encore mal dormi à mon fichu hôtel sur le bord du rond-point. Par contre pour quitter c'est parfait, je suis direct à la fourche que je devais prendre. Routes plutôt jolies vers Cazaubon et Montréal (un autre) où je tombe sur un site romain qui clanche celui de Vaison. Mosaïques superbes et gigantesques, thermes, belle surprise. Traversée sans histoires du Gers, la radio me tient compagnie et je rigole en écoutant les français parler en anglais et parler de thai-seur (tazer). Et je me dis qu'en remplaçant Domenech par Bob Gainey à la radio on a des discussions semblables. Arrivée en zone de vignobles à Castillon (manque un r dans ce nom me semble) une ville plus tranquille. Je dois téléphoner pour prendre rendez-vous pour rendre l'auto. Ça me prend une carte d'appel pour ça, 7.50 euros simonac! Tout ça pour 2 minutes. Elle pourra me servir un autre jour j'imagine. La ville est un peu sinistre le soir, et il y a encore moins de restos qu'au Mont-Dore. J'arrête chez le chinois, mais c'est meilleur qu'au chinois chez nous. Ça me semble plus traditionnel en tout cas. Et c'est drôle de voir des chinois avec l'accent français.
Jour 20: Très brumeux ce matin à Castillon (où il manque toujours un r), ce qui ne rend pas la ville plus sympathique. Route au travers du vignoble de Bordeaux, que de raisins! Beau et paisible, une autre place qui pourrait être intéressante à vélo. Comme s'il en manquait... Arrivée à St-Émilion qui est à mon goût un piège à touristes. C'est joli, mais c'est un piège à touristes. Après plusieurs jours dans des endroits tranquilles, ça frappe. Et finalement je me rends à Bordeaux en faisant une dernière épicerie (ça me prend du confit à rapporter). Je trouve un hôtel avec 0 charme près de l'aéroport, mais c'est pas cher et ça sera pratique au moins après-demain. Descente en tramway vers le centre-ville, comme à Montréal la rue principale est la rue Ste-Catherine. Je croise même des universitaires en initiation, sac de poubelles, farine et maquillage. J'aurais dû prendre des photos. Je rentre à l'hôtel demain je visiterai plus en profondeur demain. À la télé je pogne les Têtes à Claques sous-titrées, mourant. Lance Armstrong est de retour, ça en parle à la télé. Je soupe au resto pas très loin de l'hôtel et j'écoute le match de la France à la télé, ouf ils ont gagné!
Jour 21: Encore le tramway et début d'une ballade dans Bordeaux. Cette ville me fait vraiment penser à Montréal ou à ce qu'elle pourrait être. Rue Ste-Catherine, un stade un peu en dehors du centre-ville, un bord de rivière / fleuve aménagé de la même façon. Montréal a de plus beaux parcs, Bordeaux a de plus beaux édifices. Mais il y a un lien... Découverte de plusieurs endroits y compris le musée Jean Moulin sur la résistance, très intéressant au premier étage mais ensuite ça en perd un peu, manque d'interprétation et trop d'étalages de médailles variées. Petit passage sur internet, je pars toujours demain. Un peu triste de quitter, mais en même temps j'ai un peu le mal du pays. J'ai quand même bien apprécié Bordeaux et ses magasins aux noms amusants. J'ai préféré Toulouse, mais je pense qu'il y a un peu plus à voir à Bordeaux. Malgré les prévisions négatives, il a plu seulement 1/2h aujourd'hui. J'suis chanceux!
Jour 22: Très très mal dormi, plein de rêves bizarres. Retour de l'auto, je jase avec le gars de la location qui n'a que ça à faire en attendant ses prochains clients. Il est sympathique, ça permet de tuer le temps. Ce n'est pas le même avion qu'à l'aller, il me semble même plus spacieux mais le petit baquet est quand même dans le plan d'urgence. Envolée d'abord tranquille et je me sers de mon mini atlas Michelin pour identifier les îles de la côte de la Bretagne en bas. Mais un peu après avoir quitté les côtes françaises pour de bon, ça se met à brasser. D'abord un peu, mais tout d'un coup pas mal plus, au point où le pilote demande d'arrêter le service et demande même au staff de prendre leur siège. Ça continue à secouer, et la dernière est quelque chose... l'avion plonge sur un côté (je ne veux pas savoir de combien) et pas mal de gens à bord crient sur celle là. Mais c'est pas mal la dernière, ça se calme ensuite et tout revient à la normale. Encore du Choix du Président, chinois cette fois, à peine meilleur que l'hindou. Le reste du voyage va bien même si c'est long (au moins j'aurai écouté Iron Man). Je jase avec un agent de bord en faisant la file pour les toilettes, il me dit qu'en plus de 700 vols c'était sa troisième secousse du genre. La descente finit par s'amorcer, c'est nuageux et on ne voit rien au sol. On finit par toucher le sol, les vacances sont finies! Le contrôle douanier et la reprise des valises se fait vraiment rapidement, ça au moins c'est quelque chose qui va bien... heureusement, car je suis crevé. Mais ça ne m'empêchera pas de repartir en voyage quand j'en aurai la chance!
2008-10-16
Un cheveux, est-ce plus gros qu'un cheveu?
Pour être honnête, la faute a été corrigée plus tard dans la journée. Mais sur le coup, elle était drôle et assez flagrante merci.
Par contre, je trouve ça amusant que tous les articles de vélo de RDS soient toujours sous la bannière Tour de France... scusez, ça fait à peu près trois mois qu'il est fini. Et surtout que l'article lui-même parle du Jayco Herald Sun Tour...
Ceci dit, Rollin continue de s'imposer. Bien hâte de le voir l'an prochain avec l'équipe Cervélo.
Par contre, je trouve ça amusant que tous les articles de vélo de RDS soient toujours sous la bannière Tour de France... scusez, ça fait à peu près trois mois qu'il est fini. Et surtout que l'article lui-même parle du Jayco Herald Sun Tour...
Ceci dit, Rollin continue de s'imposer. Bien hâte de le voir l'an prochain avec l'équipe Cervélo.
2008-10-14
Scandale électoral!
Montréal (SNFMM -Service de nouvelles fictives de Monsieur M): Le Parti PIR a réagi aux résultats des élections pendant qu'ils sortaient ce soir. Le PIR est reconnu pour sa proposition de déclaration unilatérale d'indépendance de l'arrondissement de Rosemont Petite Patrie.
C'est un scandale! Le Gouvernement du Canada, dans un gest de censure spectaculaire, n'a jamais affiché le nom du PIR sur les bulletins de vote. Le prétexte? Une vague question de 'parti pas enregistré' ou quelque chose du genre. Comme s'il fallait s'enregistrer pour représenter la choix du peuple!
Refusez ce verdict! Le peuple rosemontois, uni, ne sera jamais vaincu!
Tous ensemble vers la Libération!
Allons enfants d'la rue Masson-on-on
Le jour de gloire est arrivé!
C'est un scandale! Le Gouvernement du Canada, dans un gest de censure spectaculaire, n'a jamais affiché le nom du PIR sur les bulletins de vote. Le prétexte? Une vague question de 'parti pas enregistré' ou quelque chose du genre. Comme s'il fallait s'enregistrer pour représenter la choix du peuple!
Refusez ce verdict! Le peuple rosemontois, uni, ne sera jamais vaincu!
Tous ensemble vers la Libération!
Allons enfants d'la rue Masson-on-on
Le jour de gloire est arrivé!
2008-10-10
Et si je décidais d'avoir l'air fou?
Non non, pas en me promemant en tutu rose ou en me peinturant la face en vert, mais en faisant mes prédictions pour la prochaine saison de la LNH...
(remarquez que si vous haiiiiiiiiiissez la LNH et que voulez quand même que j'aille l'air fou, vous pouvez quand même dire vos suggestions. Je ne garantis pas que je vais les suivre, mais au moins ça fera de la lecture divertissante)
À noter que les notes entre parenthèses (par exemple A | A | A) sont l'évaluation très personnelle que je donne à l'attaque, la défensive et les gardiens.
Mes constats dans l'exercice: Vraiment imprévisible cette année. Trois des six divisions (Atlantique, Sud-est, Nord-ouest) partent sans véritable favori tant les forces sont égales. La pire à ce niveau est la nord-ouest ou les cinq équipes peuvent espérer prendre le titre. D'ailleurs dans ces cas de forces égales, ça fait en sorte que les équipes se bouffent des points mutuellement, ce qui fait en sorte qu'au bout du compte une équipe d'une division un peu plus faible peut se faufiler devant.
1- Montréal (A+ | A- | A-): Attaque très balancée, une défensive solide, duo de gardiens très efficace, ça regarde bien. Mais est-ce qu'il y aura trop de distractions à cause du centenaire?
Un joueur: Alex Kovalev. S'il ne répète pas les exploits de l'an passé, l'équipe va en arracher.
2- Washington (A | B- | B): Dans cette division tout peut arriver. Grosse attaque, défensive plus que suspecte, et Théo... c'est Théo. Mais ils sont dans la division la plus faible de la ligue et pourraient challenger la première place pour ça, parce qu'ils vont faire le plein contre des équipes poches.
Un joueur: José Théodore. Est-il le gardien dominant d'autrefois, ou le gardien inconstant d'autrefois?
3- Philadelphie (A | B | B+): Je les déteste, mais ils ont une bonne équipe sans grosses faiblesses. Pourraient finir premiers, mais leur division est relevée alors y'aura pas mal de partage de points.
Un joueur: Mike Richards. Il a signé un gros contrat, il est le capitaine... il doit prendre cette équipe sur ses jeunes épaules.
4- Pittsburgh (A+ | C | A): Ont perdu un peu de munitions à l'été. Si c'était pas des blessures majeurs à Gonchar et Whitney perdus pour la moitié de la saison, ils pourraient être en tête, mais souvent c'est difficile pour les finalistes de la Coupe de partir fort. S'ils parvienent à s'accrocher jusqu'à leur retour, ça va être quelque chose ensuite.
Un joueur: Kris Letang qui a d'immenses responsabilités pour relancer l'attaque vu les blessés.
5- New Jersey (B | B+ | A): Jamais spectaculaire, mais une des meilleures équipes de la ligue en deuxième moitié l'an passé. Et ils n'ont rien perdu à l'été.
Un joueur: Martin Brodeur. Au New Jersey, ça revient toujours à lui.
6- Rangers (B | B | A): Bonne équipe solide, excellent gardien. Beaucoup de changements par contre à l'été.
Un joueur: Henrik Lundqvist. Excellent gardien, mais si ses genoux ne tiennent pas...
7- Buffalo (A+ | B | A): Attaque sous-estimée et très équilibrée. Bon gardien, défensive qui manque un peu de munitions. Un joueur: Ryan Miller. C'est lui qui peut faire passer Buffalo d'équipe limite à bonne équipe.
8- Boston (B+ | B+ | C): Équipe en progression, mais inquiétudes devant le filet.
Un joueur: Zdeno Chara. Doit jouer à la hauteur de son talent et devenir un vrai leader.
9- Ottawa (A+ | B | C): Passé la première ligne, reste pu grand chose. Grosses questions dans le filet.
Un joueur: Daniel Alfredsson. L'âme de cette équipe... un vrai guerrier qui se donne toujours à fond. Un des rares de son équipe à le faire.
10- Caroline (B+ | C | B+): Déjà décimés par les blessures, et défensive douteuse.
Un joueur: Eric Staal. A tout ce qu'il faut pour devenir une grosse vedette.
11- Floride (C | B+ | A): Sans Jokinen, qui va marquer? Belle défensive, et Vokoun est bon, mais sans attaque...
Un joueur: Thomas Vokoun. Sans lui, la saison sera longue en Floride.
12- Tampa (A | C | B): Ont adressé leurs problèmes défensifs majeurs en signant des attaquants finis (Recchi, Roberts) en surpayant un gars qui a eu une "grosse" saison de 50 pts en jouant avec Crosby et Malkin (Malone) et un gars qui a eu une seule bonne saison l'an passé (Vrbata). Ajoutez à ça Barry Melrose comme coach...
Un joueur: Ryan Malone. Contrat de 7 ans à de multiples millions pour un gars qui a eu une seule saison respectable en carrière. Doit prouver qu'il le mérite.
13- Toronto (C | C | A-): En reconstruction. Et pourtant...
Un joueur: Vesa Toskala. Très bon gardien, mais aura-t-il la patience d'attendre la reconstruction complète?
14- Islanders (C | C | A): Ça sera long sur l'île...
Un joueur: Mark Streit. Que fera l'homme de 5 millions sans Markov sur l'AN?
15- Atlanta (C+ | C | B+): Ça fait pitié.
Un joueur: Ilya Kovalchuk. Finira-t-il l'année à Atlanta?
1- Detroit (A+ | A | B+): Leur attaque est toujours aussi bonne (et ils ont rajouté Hossa), la défensive aussi, juste dans le filet que c'est ordinaire... mais avec une telle équipe devant, ben des gardiens peuvent gagner. Curieusement je ne les vois pas à la Coupe, mais ils iront loin
Un joueur: Henrik Zetterberg. Sera-t-il enfin reconnu à la hauteur de son talent?
2- San Jose (A | B+ | A): Excellente équipe de saison régulière. Ne parlons pas des séries
Un joueur: Dan Boyle. Il sera peut-être celui qui poussera enfin les Sharks au prochain niveau.
3- Calgary (B+ | A | A): Je donne l'avantage aux Flames, je crois qu'ils sont les mieux équilibrés dans leur division, mais ça va être tellement serré...
Un joueur: Miika Kiprusoff. Sans lui, pas de saison à Calgary.
4- Anaheim (A | A | A): Grosse défense, grosse attaque, bon gardien... pourtant il semble manquer de quoi pour que ça lève vraiment. Meilleure équipe de sa division sur papier, mais pas sur la glace
Un joueur: Teemu Selanne. Va-t-il encore tenir le rythme?
5-Dallas (A | B | B+): On a toujours tendance à les sous-estimer... Peu connus, mais efficaces. Comment Ribeiro ira-t-il après avoir signé un juteux contrat?
Un joueur: Sean Avery. Combien de temps avant qu'il mette le trouble?
6- Edmonton (A- | B | B): Ont été décimés par les blessures l'an passé et on tout juste raté les séries. Me font penser au CH d'il y a 2-3 ans...
Un joueur: Sheldon Souray. S'il peut enfin être en santé, il sera d'une aide précieuse aux jeunes Oilers.
7- Minnesota (B | A | B+): Perdent toujours leurs gros joueurs à chaque année, mais Lemaire a un bon système en place
Un joueur: Marian Gaborik. Le meilleur joueur du Wild sera-t-il échangé vu la difficulté à trouver une entente contractuelle?
8- Chicago(A- | B | A) : Équipe grandement améliorée avec beaucoup de potentiel. Profiteront d'une division poche pour se faufiler en séries
Un joueur: Martin Havlat. Combien de temps avant sa prochaine blessure?
9- Vancouver (B | B | A): Passé Luongo et les Sedin, il y a quoi?
Un joueur: Roberto Luongo. Juste parce que c'est un gardien le capitaine.
10- Columbus (B+ | B | A): Rick Nash sera moins seul. Pas de séries cette année, mais bientôt, un jour...
Un joueur: Pascal Leclaire. Il devra être aussi bon que l'an passé...
11- Colorado (A | B- | C): Belle équipe mais un peu vieille. Gros doutes dans le filet.
Un joueur: Paul Stastny. Le digne successeur de son père.
12- Phoenix (B+ | B- | B): En progression, mais la conférence de l'ouest est vraiment dure. Un an ou deux encore...
Un joueur: Kyle Turris. Candidat à la recrue de l'année.
13- Nashville (C | B | B-): Radulov parti, reste pu grand chose
Un joueur: Jean-Pierre Dumont. Radulov parti, il est la grosse menace offensive du club.
14- Saint-Louis (B+ | C | B): Un jour ils seront bons, mais là ils reconstruisent. Et avec E. Johnson blessé pour l'année...
Un joueur: Brad Boyes. Surprise l'an passé... il doit confirmer cette année.
15- Los Angeles (B- | C | C-): Reconstruction perpétuelle
Un joueur: Anze Kopitar. Excellent joueur qui passe inaperçu vu la médiocrité de son entourage.
(remarquez que si vous haiiiiiiiiiissez la LNH et que voulez quand même que j'aille l'air fou, vous pouvez quand même dire vos suggestions. Je ne garantis pas que je vais les suivre, mais au moins ça fera de la lecture divertissante)
À noter que les notes entre parenthèses (par exemple A | A | A) sont l'évaluation très personnelle que je donne à l'attaque, la défensive et les gardiens.
Mes constats dans l'exercice: Vraiment imprévisible cette année. Trois des six divisions (Atlantique, Sud-est, Nord-ouest) partent sans véritable favori tant les forces sont égales. La pire à ce niveau est la nord-ouest ou les cinq équipes peuvent espérer prendre le titre. D'ailleurs dans ces cas de forces égales, ça fait en sorte que les équipes se bouffent des points mutuellement, ce qui fait en sorte qu'au bout du compte une équipe d'une division un peu plus faible peut se faufiler devant.
1- Montréal (A+ | A- | A-): Attaque très balancée, une défensive solide, duo de gardiens très efficace, ça regarde bien. Mais est-ce qu'il y aura trop de distractions à cause du centenaire?
Un joueur: Alex Kovalev. S'il ne répète pas les exploits de l'an passé, l'équipe va en arracher.
2- Washington (A | B- | B): Dans cette division tout peut arriver. Grosse attaque, défensive plus que suspecte, et Théo... c'est Théo. Mais ils sont dans la division la plus faible de la ligue et pourraient challenger la première place pour ça, parce qu'ils vont faire le plein contre des équipes poches.
Un joueur: José Théodore. Est-il le gardien dominant d'autrefois, ou le gardien inconstant d'autrefois?
3- Philadelphie (A | B | B+): Je les déteste, mais ils ont une bonne équipe sans grosses faiblesses. Pourraient finir premiers, mais leur division est relevée alors y'aura pas mal de partage de points.
Un joueur: Mike Richards. Il a signé un gros contrat, il est le capitaine... il doit prendre cette équipe sur ses jeunes épaules.
4- Pittsburgh (A+ | C | A): Ont perdu un peu de munitions à l'été. Si c'était pas des blessures majeurs à Gonchar et Whitney perdus pour la moitié de la saison, ils pourraient être en tête, mais souvent c'est difficile pour les finalistes de la Coupe de partir fort. S'ils parvienent à s'accrocher jusqu'à leur retour, ça va être quelque chose ensuite.
Un joueur: Kris Letang qui a d'immenses responsabilités pour relancer l'attaque vu les blessés.
5- New Jersey (B | B+ | A): Jamais spectaculaire, mais une des meilleures équipes de la ligue en deuxième moitié l'an passé. Et ils n'ont rien perdu à l'été.
Un joueur: Martin Brodeur. Au New Jersey, ça revient toujours à lui.
6- Rangers (B | B | A): Bonne équipe solide, excellent gardien. Beaucoup de changements par contre à l'été.
Un joueur: Henrik Lundqvist. Excellent gardien, mais si ses genoux ne tiennent pas...
7- Buffalo (A+ | B | A): Attaque sous-estimée et très équilibrée. Bon gardien, défensive qui manque un peu de munitions. Un joueur: Ryan Miller. C'est lui qui peut faire passer Buffalo d'équipe limite à bonne équipe.
8- Boston (B+ | B+ | C): Équipe en progression, mais inquiétudes devant le filet.
Un joueur: Zdeno Chara. Doit jouer à la hauteur de son talent et devenir un vrai leader.
9- Ottawa (A+ | B | C): Passé la première ligne, reste pu grand chose. Grosses questions dans le filet.
Un joueur: Daniel Alfredsson. L'âme de cette équipe... un vrai guerrier qui se donne toujours à fond. Un des rares de son équipe à le faire.
10- Caroline (B+ | C | B+): Déjà décimés par les blessures, et défensive douteuse.
Un joueur: Eric Staal. A tout ce qu'il faut pour devenir une grosse vedette.
11- Floride (C | B+ | A): Sans Jokinen, qui va marquer? Belle défensive, et Vokoun est bon, mais sans attaque...
Un joueur: Thomas Vokoun. Sans lui, la saison sera longue en Floride.
12- Tampa (A | C | B): Ont adressé leurs problèmes défensifs majeurs en signant des attaquants finis (Recchi, Roberts) en surpayant un gars qui a eu une "grosse" saison de 50 pts en jouant avec Crosby et Malkin (Malone) et un gars qui a eu une seule bonne saison l'an passé (Vrbata). Ajoutez à ça Barry Melrose comme coach...
Un joueur: Ryan Malone. Contrat de 7 ans à de multiples millions pour un gars qui a eu une seule saison respectable en carrière. Doit prouver qu'il le mérite.
13- Toronto (C | C | A-): En reconstruction. Et pourtant...
Un joueur: Vesa Toskala. Très bon gardien, mais aura-t-il la patience d'attendre la reconstruction complète?
14- Islanders (C | C | A): Ça sera long sur l'île...
Un joueur: Mark Streit. Que fera l'homme de 5 millions sans Markov sur l'AN?
15- Atlanta (C+ | C | B+): Ça fait pitié.
Un joueur: Ilya Kovalchuk. Finira-t-il l'année à Atlanta?
1- Detroit (A+ | A | B+): Leur attaque est toujours aussi bonne (et ils ont rajouté Hossa), la défensive aussi, juste dans le filet que c'est ordinaire... mais avec une telle équipe devant, ben des gardiens peuvent gagner. Curieusement je ne les vois pas à la Coupe, mais ils iront loin
Un joueur: Henrik Zetterberg. Sera-t-il enfin reconnu à la hauteur de son talent?
2- San Jose (A | B+ | A): Excellente équipe de saison régulière. Ne parlons pas des séries
Un joueur: Dan Boyle. Il sera peut-être celui qui poussera enfin les Sharks au prochain niveau.
3- Calgary (B+ | A | A): Je donne l'avantage aux Flames, je crois qu'ils sont les mieux équilibrés dans leur division, mais ça va être tellement serré...
Un joueur: Miika Kiprusoff. Sans lui, pas de saison à Calgary.
4- Anaheim (A | A | A): Grosse défense, grosse attaque, bon gardien... pourtant il semble manquer de quoi pour que ça lève vraiment. Meilleure équipe de sa division sur papier, mais pas sur la glace
Un joueur: Teemu Selanne. Va-t-il encore tenir le rythme?
5-Dallas (A | B | B+): On a toujours tendance à les sous-estimer... Peu connus, mais efficaces. Comment Ribeiro ira-t-il après avoir signé un juteux contrat?
Un joueur: Sean Avery. Combien de temps avant qu'il mette le trouble?
6- Edmonton (A- | B | B): Ont été décimés par les blessures l'an passé et on tout juste raté les séries. Me font penser au CH d'il y a 2-3 ans...
Un joueur: Sheldon Souray. S'il peut enfin être en santé, il sera d'une aide précieuse aux jeunes Oilers.
7- Minnesota (B | A | B+): Perdent toujours leurs gros joueurs à chaque année, mais Lemaire a un bon système en place
Un joueur: Marian Gaborik. Le meilleur joueur du Wild sera-t-il échangé vu la difficulté à trouver une entente contractuelle?
8- Chicago(A- | B | A) : Équipe grandement améliorée avec beaucoup de potentiel. Profiteront d'une division poche pour se faufiler en séries
Un joueur: Martin Havlat. Combien de temps avant sa prochaine blessure?
9- Vancouver (B | B | A): Passé Luongo et les Sedin, il y a quoi?
Un joueur: Roberto Luongo. Juste parce que c'est un gardien le capitaine.
10- Columbus (B+ | B | A): Rick Nash sera moins seul. Pas de séries cette année, mais bientôt, un jour...
Un joueur: Pascal Leclaire. Il devra être aussi bon que l'an passé...
11- Colorado (A | B- | C): Belle équipe mais un peu vieille. Gros doutes dans le filet.
Un joueur: Paul Stastny. Le digne successeur de son père.
12- Phoenix (B+ | B- | B): En progression, mais la conférence de l'ouest est vraiment dure. Un an ou deux encore...
Un joueur: Kyle Turris. Candidat à la recrue de l'année.
13- Nashville (C | B | B-): Radulov parti, reste pu grand chose
Un joueur: Jean-Pierre Dumont. Radulov parti, il est la grosse menace offensive du club.
14- Saint-Louis (B+ | C | B): Un jour ils seront bons, mais là ils reconstruisent. Et avec E. Johnson blessé pour l'année...
Un joueur: Brad Boyes. Surprise l'an passé... il doit confirmer cette année.
15- Los Angeles (B- | C | C-): Reconstruction perpétuelle
Un joueur: Anze Kopitar. Excellent joueur qui passe inaperçu vu la médiocrité de son entourage.
2008-10-08
Vive Rosemont Libre - Le Ministère du Tourisme
Montréal (SNFMM -Service de nouvelles fictives de Monsieur M): Le Parti PIR a dévoilé aujourd'hui une partie de sa plateforme électorale, soit les relations internationales. Le PIR est reconnu pour sa proposition de déclaration unilatérale d'indépendance de l'arrondissement de Rosemont Petite Patrie. Voici les grandes lignes de la politique proposée par le PIR:
-Mise en valeur du pôle historique Angus avec un musée du chemin de fer
-Transformation du Parc Maisonneuve en réserve faunique dévouée à la préservation faune Rosemontoise
-Promotion internationale du Jardin Botanique Impéri... euh... Présidentiel.
-Transformation de l'ex-hôpital Bellechasse en hôtel 5 étoiles.
-Installation au Parc Molson d'une série de sculptures des plus grands artistes Rosemontois pour le bénéfice de tous
-Embauche d'un cuisinier de renom international à l'Orange Julep de la rue Sherbrooke.
-Mise en valeur de la rue Beaubien pour en faire une avenue de premier plan international, de l'envergure des Champs-Élysées, Bond Street, Ave of the Americas ou Kufurstendamm.
-Jumelage avec des villes internationales aussi connues que Kyoto, Saint-Pétersbourg, Wellington et Réquista.
-Mise en valeur du pôle historique Angus avec un musée du chemin de fer
-Transformation du Parc Maisonneuve en réserve faunique dévouée à la préservation faune Rosemontoise
-Promotion internationale du Jardin Botanique Impéri... euh... Présidentiel.
-Transformation de l'ex-hôpital Bellechasse en hôtel 5 étoiles.
-Installation au Parc Molson d'une série de sculptures des plus grands artistes Rosemontois pour le bénéfice de tous
-Embauche d'un cuisinier de renom international à l'Orange Julep de la rue Sherbrooke.
-Mise en valeur de la rue Beaubien pour en faire une avenue de premier plan international, de l'envergure des Champs-Élysées, Bond Street, Ave of the Americas ou Kufurstendamm.
-Jumelage avec des villes internationales aussi connues que Kyoto, Saint-Pétersbourg, Wellington et Réquista.
Fallait bien que ça arrive
5 à 7 prévu au bureau ce soir… comme j’hais ça prendre le métro rendu à 20h00 (c’est long pis ça passe pas souvent), je décide d’aller travailler en auto. Je fais ça très rarement, à peu près 2-3 fois par année, justement parce qu’à l’heure de pointe du soir, c’est le bouchon total. D’habitude, c’est métro ou vélo. Mais là, en partant tard, c'est pas mal plus vite pour revenir. Et je sais que je n'ai pas de trouble pour conduire après un 5 à 7...
Bref ce matin tout va bien, je roule tranquille… dans le tunnel Ville-Marie, je pense même à sortir vers Bonaventure parce que la sortie Atwater est fermée… je connais un peu moins cette sortie là, mais je me ramasse dans la bonne voie et au bon endroit. Je sors du tunnel là où la sortie fusionne avec la rue Nazareth au coin de la rue William que je dois prendre à droite, mais de la façon dont l’intersection est faite, ça ne vire pas sans couper 2 voies de la rue Nazareth. Par contre la prochaine intersection me permet de virer à droite pour prendre une rue qui me fera revenir à William… comme personne arrive dans le one way derrière, je change de voie avec le clignotant et tout et tout, question de pas avoir à couper tout le monde après la lumière pour prendre cette rue. J’attend bien tranquille à ma lumière rouge… et comme je repars, une police de la SQ me fait signe. Je me tasse sans trop comprendre, coudonc, est-ce que j’ai une lumière brûlée…
« Monsieur, vous n’avez pas le droit de changer de voie en sortant du tunnel ». Hein? Je me vire de bord… et calvaire, comme de fait, une belle ligne blanche continue que je n’ai jamais vu, trop occupé à essayer de voir le nom de la rue où j’étais et à voir par où je devais aller. Moi qui m’étais tassé de bonne foi pour essayer de faciliter le trafic, j’ai commis bien malgré moi une belle infraction bien juteuse et tout à fait incontestable. Premier ticket à vie! Et je n’étais pas le seul, le temps qu’il prenne mes infos, il a arrêté trois autres voitures. Faut ben financer l’état, les temps sont durs!
Je ne peux pas contester, il n’y a aucun doute, j'ai coupé où il ne fallait pas... ma faute, absolument, j’étais en tort... mais ça écoeure en maudit. Le montant aussi écoeure… Pas de points perdus sur le permis (c’est toujours ça de pris), mais un trou imprévu dans le budget.
Tsé, si j’avais roulé en fou, si j’avais coupé quelqu’un, si j’avais provoqué un danger quelconque… ça aurait moins dérangé… mais là, j’étais de bonne foi, j’ai juste voulu me tasser pour éviter de couper d’autre monde après la lumière, pour faciliter le traffic…
Leçons de l’histoire :
Bref ce matin tout va bien, je roule tranquille… dans le tunnel Ville-Marie, je pense même à sortir vers Bonaventure parce que la sortie Atwater est fermée… je connais un peu moins cette sortie là, mais je me ramasse dans la bonne voie et au bon endroit. Je sors du tunnel là où la sortie fusionne avec la rue Nazareth au coin de la rue William que je dois prendre à droite, mais de la façon dont l’intersection est faite, ça ne vire pas sans couper 2 voies de la rue Nazareth. Par contre la prochaine intersection me permet de virer à droite pour prendre une rue qui me fera revenir à William… comme personne arrive dans le one way derrière, je change de voie avec le clignotant et tout et tout, question de pas avoir à couper tout le monde après la lumière pour prendre cette rue. J’attend bien tranquille à ma lumière rouge… et comme je repars, une police de la SQ me fait signe. Je me tasse sans trop comprendre, coudonc, est-ce que j’ai une lumière brûlée…
« Monsieur, vous n’avez pas le droit de changer de voie en sortant du tunnel ». Hein? Je me vire de bord… et calvaire, comme de fait, une belle ligne blanche continue que je n’ai jamais vu, trop occupé à essayer de voir le nom de la rue où j’étais et à voir par où je devais aller. Moi qui m’étais tassé de bonne foi pour essayer de faciliter le trafic, j’ai commis bien malgré moi une belle infraction bien juteuse et tout à fait incontestable. Premier ticket à vie! Et je n’étais pas le seul, le temps qu’il prenne mes infos, il a arrêté trois autres voitures. Faut ben financer l’état, les temps sont durs!
Je ne peux pas contester, il n’y a aucun doute, j'ai coupé où il ne fallait pas... ma faute, absolument, j’étais en tort... mais ça écoeure en maudit. Le montant aussi écoeure… Pas de points perdus sur le permis (c’est toujours ça de pris), mais un trou imprévu dans le budget.
Tsé, si j’avais roulé en fou, si j’avais coupé quelqu’un, si j’avais provoqué un danger quelconque… ça aurait moins dérangé… mais là, j’étais de bonne foi, j’ai juste voulu me tasser pour éviter de couper d’autre monde après la lumière, pour faciliter le traffic…
Leçons de l’histoire :
- Être de bonne foi, ça peut coûter cher.
- Le coin Nazareth / William est un piège à tickets.
- Je ne sors plus jamais par cette sortie quand je viens travailler en auto. Atwater ou rien.
- Le métro est long à attendre à 20h00, mais au moins c’est un prix fixe (quoiqu’il était en panne ce matin).
2008-10-05
Récit de voyage: Jours 11-15
Jour 11: Au grand désespoir d'Alex, on doit quitter Pont Saint Esprit. On embarque tout de suite sur la route des Gorges de l'Ardèche au paysages spectaculaires, une belle rivière au pied de profondes falaises blanches. Magnifique. Un jour, faut que je me tappe cette rivière là en canot. Ça, ou bien faire la route à vélo. En chemin, on croise une couple de chèvres et des employés de la voirie à une halte routière. Et je ne sais toujours pas qui on a dérangé le plus. À la sortie des gorges après le Pont d'Arc, on embarque sur une route un peu banale vers Pradelles. Pradelles est petite, étroite, mais on a déjà vu plusieurs villages du genre et c'est un peu décevant. On passe ensuite à Arlempdes, encore plus petit mais au moins il y a des photos intéressantes à y faire. Finalement on arrive à Brives-Charensac où c'est Félix qui nous trouve, accueil vraiment sympathique même s'il habite au plus gros coin de rues de la ville et que c'est pas mal passant. On part avec lui visiter le Puy en Velay, une bien belle ville pas trop touristique... c'est le fun d'être avec quelqu'un de la place car il a un point de vue différent et bien des informations qu'on aurait pas pu avoir autrement...
Jour 12: On quitte Félix avec notre lessive pas encore sèche et on reprend la route. Et comme des cons, on réalise après 10km qu'on a pas pris de photos avec lui. Pas fort notre affaire. Pas mal de difficultés pour sortir du Puy, mais on y arrive. Route par les Gorges de l'Allier, vraiment pas touristique mais surtout beau vers la fin en approchant de Prades où il y a un massif rocheux spectaculaire (et beaucoup d'hirondelles). On dîne (et on fait sêcher les derniers morceaux de linge, décidément) à Brioude dans une ville très typique aux rues étroites et on arrive à Clermont-Ferrand. Au début, on est un peu déçus. Cathédrale noire, peu de monde, et la boutique Michelin est un piège à touristes aux prix exhorbitants. Par contre en descendant un peu plus bas, c'est vraiment plus agréable. Un ville qui ne séduit pas au premier coup d'oeil, mais si on prend un peu plus le temps, c'est très intéressant et pas touristique pour deux sous. Sur place on croise la rue Jean Rochon, ainsi qu'un coin de Rue des Gras / Rue des Américains. En sortant de la ville, on est dans les volcans d'Auvergne. Très panoramique, très peu achalandé. Arrêt au Mont-Dore, ça semble piège à touristes au début à cause du casino, mais on trouve un hôtel un peu plus en retrait pas cher avec un monsieur extrêmement serviable même s'il me fait plus penser à un libraire qu'à un gérant d'hôtel. Par contre le soir la ville est quasi-déserte et trouver un resto relève de l'exploit...
Jour 13: Oups on passe un peu tout droit sur le cadran, mais c'est pas grave. On commence à journée en montant le Col de la Croix-Morand. Venteux en haut, mais beau spot pour déjeuner. Il y a un resto avec un drapeau du Tour de France à la limite d'arracher, maudit si le proprio n'était pas dehors, je pense que je partirais avec. Il y a aussi un code barre géant sur la montagne, weird. On prend ensuite une série de routes très confidentielles jusqu'au Puy Mary. Ça paraît qu'on est rendus en septembre, il n'y a plus personne sur la route. Le Puy Mary n'a pas grand chose à envier aux cols Pyrénéens... c'est haut, venteux et spectaculaire en haut. Beau panorama, très étonnant. La route vers Aurillac est quelconque, et la ville d'Aurillac aussi est un peu banale au point qu'on parle de cures de sérénité sur la route pour se désennuyer. On a déjà de l'avance sur l'horaire, on continue... traversée du très moderne Tunnel du Lioran, dîner un peu écourté car le tonnerre gronde (même s'il ne pleuvra pas finalement). La route est plus dull vers St-Flour, Mende et Florac, au point qu'on se rendra finalement à Florac, avec beaucoup d'avance sur l'horaire.
Jour 14: Ça a du bon d'avoir de l'avance sur l'horaire, si on continue comme ça on gagnera une journée à Toulouse. Ça bruinasse un peu le matin, mais ça cessera vite. Les Gorges du Tarn sont magnifiques. À chaque virage, un nouveau panorama monumental. Me souvenais pas que c'était beau comme ça. On monte au Point Sublime qui porte son nom, quelle vue! Le ciel demeure un peu voilé, mais c'est beau pareil. Arrivée à Millau, ville célèbre pour son ex-bouchon et son nouveau viaduc. Wow! Si haut, mais pourtant si léger... la Tour Eiffel pourrait presque entrer complètement en dessous, ça donne une idée de la hauteur. Bravo les ingénieurs français! On continue à suivre le Tarn quelques km, puis on le lâche temporairement pour aller vers Tournemire. On franchit des plateaux d'herbages, on se croirait dans un décor du Seigneur des Anneaux. Passage ensuite à Roquefort, ville du fromage éponyme. Et oui, la ville sent. Très fort en plus. En continuant, on se rend à la très petite ville de Réquista où on trouve un hôtel. Et joie, je pogne le Tour d'Espagne à la télé. Bettini gagne, Chavanel est en jaune, les commentateurs sont chauvins. J'aime mieux Louis Bertrand, mais bon, au moins je peux écouter du vélo à la télé, ce qui n'est pas le cas à peu près 340 jours par années ici. Ce soir trouver un resto est encore pire qu'au Mont-Dore, il y en a un d'ouvert en ville et on est les seuls cliens à un point tel que le serveur est un peu étonné de voir des touristes et il nous confirme que "c'est tranquille, Réquista". En effet...
Jour 15: On redescend au Tarn et on arrive bien vite à Ambialet, petite péninsule dans une large boucle du Tarn. Joli malgré quelques points de vue limités... et on voit que le curé monte à son église à vélo. Quelques tunnels un peu strassants nous conduisent à Albi, ville de la brique rouge. La cathédrale (en briques) est peinte à l'intérieur, et ma foi par moments c'est quasiment psychédélique. Rarement vu de quoi du genre. La route nous mène ensuite à Cordes sur Ciel, petite ville fortifiè sur un montagne. J'ai mieux aimé ça que Carcassonne, moins touristique, quoiqu'un peu snob sur les bords. On prend quand même le temps de faire le tour de la colline à pied, belle campagne tranquille. On voulait ensuite aller vers les Gorges de l'Aveyron, mais un peu de fatigue et d'usure du voyage aidant, on coupe pour rentrer un peu plus vite à Toulouse. On trouve l'hôtel assez vite, ça en prend un pas trop loin de l'aéroport pour débarquer Alex dans deux jours. En soirée on descend souper à Toulouse, à première vue ça me semble vraiment agréable comme ville, jeune et dynamique. J'ai une très belle première impression. On soupe sur la place du Capitole, c'est le coeur de la ville et il y a énormément d'animation (et un serveur qui répète carte de dessers six fois). Vraiment, j'aime cette ville...
Jour 12: On quitte Félix avec notre lessive pas encore sèche et on reprend la route. Et comme des cons, on réalise après 10km qu'on a pas pris de photos avec lui. Pas fort notre affaire. Pas mal de difficultés pour sortir du Puy, mais on y arrive. Route par les Gorges de l'Allier, vraiment pas touristique mais surtout beau vers la fin en approchant de Prades où il y a un massif rocheux spectaculaire (et beaucoup d'hirondelles). On dîne (et on fait sêcher les derniers morceaux de linge, décidément) à Brioude dans une ville très typique aux rues étroites et on arrive à Clermont-Ferrand. Au début, on est un peu déçus. Cathédrale noire, peu de monde, et la boutique Michelin est un piège à touristes aux prix exhorbitants. Par contre en descendant un peu plus bas, c'est vraiment plus agréable. Un ville qui ne séduit pas au premier coup d'oeil, mais si on prend un peu plus le temps, c'est très intéressant et pas touristique pour deux sous. Sur place on croise la rue Jean Rochon, ainsi qu'un coin de Rue des Gras / Rue des Américains. En sortant de la ville, on est dans les volcans d'Auvergne. Très panoramique, très peu achalandé. Arrêt au Mont-Dore, ça semble piège à touristes au début à cause du casino, mais on trouve un hôtel un peu plus en retrait pas cher avec un monsieur extrêmement serviable même s'il me fait plus penser à un libraire qu'à un gérant d'hôtel. Par contre le soir la ville est quasi-déserte et trouver un resto relève de l'exploit...
Jour 13: Oups on passe un peu tout droit sur le cadran, mais c'est pas grave. On commence à journée en montant le Col de la Croix-Morand. Venteux en haut, mais beau spot pour déjeuner. Il y a un resto avec un drapeau du Tour de France à la limite d'arracher, maudit si le proprio n'était pas dehors, je pense que je partirais avec. Il y a aussi un code barre géant sur la montagne, weird. On prend ensuite une série de routes très confidentielles jusqu'au Puy Mary. Ça paraît qu'on est rendus en septembre, il n'y a plus personne sur la route. Le Puy Mary n'a pas grand chose à envier aux cols Pyrénéens... c'est haut, venteux et spectaculaire en haut. Beau panorama, très étonnant. La route vers Aurillac est quelconque, et la ville d'Aurillac aussi est un peu banale au point qu'on parle de cures de sérénité sur la route pour se désennuyer. On a déjà de l'avance sur l'horaire, on continue... traversée du très moderne Tunnel du Lioran, dîner un peu écourté car le tonnerre gronde (même s'il ne pleuvra pas finalement). La route est plus dull vers St-Flour, Mende et Florac, au point qu'on se rendra finalement à Florac, avec beaucoup d'avance sur l'horaire.
Jour 14: Ça a du bon d'avoir de l'avance sur l'horaire, si on continue comme ça on gagnera une journée à Toulouse. Ça bruinasse un peu le matin, mais ça cessera vite. Les Gorges du Tarn sont magnifiques. À chaque virage, un nouveau panorama monumental. Me souvenais pas que c'était beau comme ça. On monte au Point Sublime qui porte son nom, quelle vue! Le ciel demeure un peu voilé, mais c'est beau pareil. Arrivée à Millau, ville célèbre pour son ex-bouchon et son nouveau viaduc. Wow! Si haut, mais pourtant si léger... la Tour Eiffel pourrait presque entrer complètement en dessous, ça donne une idée de la hauteur. Bravo les ingénieurs français! On continue à suivre le Tarn quelques km, puis on le lâche temporairement pour aller vers Tournemire. On franchit des plateaux d'herbages, on se croirait dans un décor du Seigneur des Anneaux. Passage ensuite à Roquefort, ville du fromage éponyme. Et oui, la ville sent. Très fort en plus. En continuant, on se rend à la très petite ville de Réquista où on trouve un hôtel. Et joie, je pogne le Tour d'Espagne à la télé. Bettini gagne, Chavanel est en jaune, les commentateurs sont chauvins. J'aime mieux Louis Bertrand, mais bon, au moins je peux écouter du vélo à la télé, ce qui n'est pas le cas à peu près 340 jours par années ici. Ce soir trouver un resto est encore pire qu'au Mont-Dore, il y en a un d'ouvert en ville et on est les seuls cliens à un point tel que le serveur est un peu étonné de voir des touristes et il nous confirme que "c'est tranquille, Réquista". En effet...
Jour 15: On redescend au Tarn et on arrive bien vite à Ambialet, petite péninsule dans une large boucle du Tarn. Joli malgré quelques points de vue limités... et on voit que le curé monte à son église à vélo. Quelques tunnels un peu strassants nous conduisent à Albi, ville de la brique rouge. La cathédrale (en briques) est peinte à l'intérieur, et ma foi par moments c'est quasiment psychédélique. Rarement vu de quoi du genre. La route nous mène ensuite à Cordes sur Ciel, petite ville fortifiè sur un montagne. J'ai mieux aimé ça que Carcassonne, moins touristique, quoiqu'un peu snob sur les bords. On prend quand même le temps de faire le tour de la colline à pied, belle campagne tranquille. On voulait ensuite aller vers les Gorges de l'Aveyron, mais un peu de fatigue et d'usure du voyage aidant, on coupe pour rentrer un peu plus vite à Toulouse. On trouve l'hôtel assez vite, ça en prend un pas trop loin de l'aéroport pour débarquer Alex dans deux jours. En soirée on descend souper à Toulouse, à première vue ça me semble vraiment agréable comme ville, jeune et dynamique. J'ai une très belle première impression. On soupe sur la place du Capitole, c'est le coeur de la ville et il y a énormément d'animation (et un serveur qui répète carte de dessers six fois). Vraiment, j'aime cette ville...
2008-10-01
Vive Rosemont Libre - Le Ministère de la Culture
Montréal (SNFMM -Service de nouvelles fictives de Monsieur M): Le Parti PIR a dévoilé aujourd'hui une partie de sa plateforme électorale, soit les relations internationales. Le PIR est reconnu pour sa proposition de déclaration unilatérale d'indépendance de l'arrondissement de Rosemont Petite Patrie. Voici les grandes lignes de la politique proposée par le PIR:
-Ajout d'une vocation culturelle au Technopole Angus par la création d'un théâtre national à la place du Centre d'Achats Maisonneuve qui porte le nom d'un arrondissement voisin et qui ne marche pas anyway (sauf le Canadian Tire) et la création d'une salle de spectacles et d'un musée dédié à La Poune sur la rue Rose-Ouellette.
-Subvention pour la création d'une épopée poétique sur le Grand Antonio.
-Subvention pour lancer le Festival des Arts de la Rue sur la rue Bellechasse.
-Création du Festival International de Gazou de Rosemont où les plus grands gazouistes de la planète se recontreront.
-Législation sévère pour empêcher tout production télévisuelle avec Francis Reddy en sol Rosemontois (byebye, des Kiwis et des Hommes, allez filmer ça au Marché Atwater à la place!).
-Création d'un hymne national vantant les vertus de Rosemont.
-Instauration d'une grande fête populaire hivernale au Parc Maisonneuve.
-Instituer le français et l'analphabétisme comme les deux langues officielles.
-Ajout d'une vocation culturelle au Technopole Angus par la création d'un théâtre national à la place du Centre d'Achats Maisonneuve qui porte le nom d'un arrondissement voisin et qui ne marche pas anyway (sauf le Canadian Tire) et la création d'une salle de spectacles et d'un musée dédié à La Poune sur la rue Rose-Ouellette.
-Subvention pour la création d'une épopée poétique sur le Grand Antonio.
-Subvention pour lancer le Festival des Arts de la Rue sur la rue Bellechasse.
-Création du Festival International de Gazou de Rosemont où les plus grands gazouistes de la planète se recontreront.
-Législation sévère pour empêcher tout production télévisuelle avec Francis Reddy en sol Rosemontois (byebye, des Kiwis et des Hommes, allez filmer ça au Marché Atwater à la place!).
-Création d'un hymne national vantant les vertus de Rosemont.
-Instauration d'une grande fête populaire hivernale au Parc Maisonneuve.
-Instituer le français et l'analphabétisme comme les deux langues officielles.
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